Sur Instagram notre cerveau est soumis à un flux continuel d’images. Que reste-t-il de cette surabondance de stimuli lorsque l’on quitte l’application ?J’ai voulu représenter la manière dont cette plate-forme réduit l’impact des images. Je me suis fixé un protocole. J’ai pris des captures d’écrans de chaque post Instagram apparaissant sur mon fil d’actualité, sans discontinuer, pendant les durées suivantes :
3 minutes,
5 minutes,
10 minutes,
20 minutes,
1 heure,
4 heures.